Par les Docteurs Sabine Bellaiche et Stéphane Auroy
Pour retrouver un visage dynamique, serein et viril, de plus en plus d’hommes font appel à un coup d’aiguille magique et d’acide hyaluronique élaboré par les Laboratoires Vivacy, le must des injectables made in France.
Le visage est l’image de l’âme », dixit Cicéron. Les orateurs des temps modernes l’ont bien compris. Ils sont de plus en plus nombreux à offrir à leurs traits un coup de pouce rapide, indolore et indécelable, en poussant la porte d’un cabinet de dermatologie ou de médecine esthétique. Autrefois apanage des femmes, les traitements esthétiques se sont démocratisés au point de conquérir la gent masculine. Injections d’acide hyaluronique ou de toxine botulique, lasers, peeling, mésolift, radiofréquence… Ces actes non-invasifs – c’est-à-dire qui ne nécessitent aucune intervention chirurgicale – séduisent par le naturel de leurs résultats et leur absence de convalescence. « Un traitement par acide hyaluronique dure en moyenne trois quarts d’heure et le patient va pouvoir poursuivre sa journée, retourner au travail immédiatement après », explique le Dr Sabine Bellaiche, médecin esthétique, qui compte désormais « 30 % d’hommes parmi sa patientèle avec une demande qui s’accroît chaque année ».
« Cela fait une dizaine d’années que les hommes sont devenus à l’aise avec l’esthétique », décrypte le dermatologue Stéphane Auroy. « Auparavant, il y avait quelque chose d’un peu honteux, de caché, de tabou. Désormais, le bien vieillir, on en parle de plus en plus. Les hommes sont mieux informés sur les solutions qui existent », poursuit le médecin parisien. Pourquoi sautent-ils le pas ? « Il y a une exigence sociétale », analyse le Dr Auroy, pour qui « le milieu professionnel est de plus en plus dur et compétitif. Les hommes veulent continuer à montrer, malgré le temps qui passe, un reflet dynamique. C’est aussi parfois parce qu’ils ont une compagne plus jeune – et qui fait elle-même des choses ! –, afin que la différence d’âge ne se remarque pas trop, ou qu’ils reviennent sur le marché de la séduction qui est, à l’image du marché du travail, très labile et fluctuant ». Mêmes observations pour le Dr Bellaiche, qui note une prévalence de « l’optique professionnelle ». « J’entends souvent : “on me dit que j’ai l’air fatigué, alors que je ne le suis pas. J’ai l’impression que cela me gêne dans mes possibilités d’évolution”. Avoir l’air moins fatigué, c’est la principale requête. Mon rôle est alors de les orienter vers le traitement adéquat pour défatiguer et remasculiniser leur visage, les guider vers la solution la plus élégante et leur redonner leurs atouts », explique-t-elle.
Combler ses sillons, redonner du volume à ses pommettes, redessiner l’ovale de son visage, oui ! Mais l’important est que cela ne se voie pas.
La patte française, contrairement aux goûts plus ostentatoires outre-Atlantique ou outre-Oural, prône le naturel. « Le meilleur des compliments, c’est quand un patient revient me voir et me lance : “Docteur, on ne m’a rien dit” », s’amuse Sabine Bellaiche. « Les hommes ne veulent pas être transformés », appuie aussi Stéphane Auroy. « Ils veulent rester eux, mais en mieux ! Alors on va tendre à leur rendre le visage qu’ils avaient il y a dix, quinze ou vingt ans. Il y a une maquette à construire avec rigueur, un visage à traiter de manière globale et une fréquence à ne pas dépasser sur le long-terme. En tant que médecin, il faut savoir dire non ! ». Si l’on décide d’y avoir recours, ce qui est primordial, outre le choix d’un praticien sérieux, c’est d’opter pour un produit de qualité. « Pour les injections d’acide hyaluronique, j’ai choisi les Laboratoires VIVACY. Ils ont développé un produit qui va particulièrement bien à l’homme, STYLAGE® XXL, qui est très restructurant pour le visage », commente le Dr Bellaiche.
Même enthousiasme pour le Dr Auroy, qui est « très fidèle à la gamme STYLAGE®, ayant testé les meilleurs produits qui se font sur le marché ». « Je n’ai jamais trouvé mieux en termes de facilité d’injection, de durabilité tant pour les lèvres, que pour les gros volumateurs ou les produits plus légers. La gamme est complète et parfaite », estime-t-il. Reste une question, et non des moindres : est-ce que les injections sont douloureuses ? « Le médecin utilise une crème anesthésiante et les produits contiennent eux-mêmes un actif anesthésiant. Ajoutez à cela des aiguilles très fines : l’acte est vraiment confortable », rassure le dermatologue Stéphane Auroy. L’effet d’une injection d’acide hyaluronique dure entre 9 et 18 mois, selon la zone traitée (sillons nasogéniens, ridules, pommettes…) et la densité du produit utilisé. Le docteur Bellaiche conseille de revenir plusieurs fois sur l’ouvrage pour un naturel optimal : « avoir des rides, c’est normal et viril. Il faut utiliser les rides positives et être rajeuni, pas sans âge ! Je me félicite que les médecins s’intéressent aujourd’hui à l’homme et à ses particularités, car il a lui aussi le droit à sa quête de bien-être et d’harmonie. C’est important de s’aimer, c’est le meilleur moyen d’aimer les autres » !
Docteur Sabine Bellaiche
Médecin esthétique à Paris. A participé au tournage d’une émission sur France 5 à la Clinique Spontini dédiée au traitement de la lipoatrophie faciale par injection d’acide hyaluronique STYLAGE chez les patients infectés par le VIH. Pour les Laboratoires Vivacy : tests des produits avant mise sur le marché, formation à l’utilisation des canules et travail en tant que Médecin Formateur lors d’ateliers et de congrès dont maîtrise des différentes techniques d’injection, Correction des rides, Rajeunissement des mains avec STYLAGE M ou L.
Docteur Stéphane Auroy
Le Docteur Stéphane Auroy est spécialiste en dermatologie et vénéréologie. Ancien chef de clinique des Hôpitaux de Paris en dermatologie, il est spécialisé en dermatologie esthétique depuis 20 ans. Enseignant à Paris V depuis sa création en 2002 dans le DU “évaluation et contrôle des techniques d’injection et de volumétrie en dermatologie et chirurgie plastique”. Animateur d’ateliers de formation en injection et médecin investigateur dans le cadre de protocoles d’études cliniques.